Conférence en Octobre 2022 à l’île de la Réunion.
Les effets prophylactiques de l’activité physique sont aujourd’hui reconnus par la communauté scientifique et médicale. On sait, par exemple, que la pratique régulière d’une activité physique d’intensité modérée peut réduire les risques d’apparitions de certaines pathologies…
Mais quand est-il lorsque on veut optimiser la santé et et la performance ?
Lorsque l’on veut durer dans ces domaines l’un ne va pas sans l’autre. Si vous êtes un athlète sérieux et que vous n’avez jamais travaillé avec un médecin de médecine fonctionnelle compétent pour optimiser vos performances, vous devriez y penser. Augmenter ses performances passe par la gestion de la santé via des effets indirects et directs. Dans le premier aspect indirect de la performance, l’athlète devra travailler sur ces maillons faibles en équilibrant constamment les niveaux d’inflammation, la fonction neuro-endocrine, la fonction intestinale et immunitaire, etc… Dans l’aspect direct de la performance, il existe bien évidemment la nutrition individualisée mais aussi certaines substances naturelles qui optimisent l’effort physique d’endurance, l’explosivité et l’intensité de l’effort ainsi que les aspects environnementaux comme l’hydratation et la récupération. Nous verrons ce qui relève de la science mais aussi de la pseudo-science dans ce domaine. Afin de contrebalancer le stress et l’usure d’un entraînement de haute intensité, il est nécessaire d’avoir les ressources et les connaissances nécessaires pour identifier et traiter les facteurs biologiques et physiologiques qui pourraient limiter vos gains sportifs et vos objectifs de performance. Bruno Lacroix