Est-ce que la science (avec un grand « S ») est toujours objective, neutre ? NON.
Malheureusement, la vérité scientifique peut-être souvent sacrifiée à des intérêts individuels, politiques et économiques.
Les scientifiques sont eux aussi des hommes et il y a beaucoup de choses en jeu, des récompenses brillantes sous la forme d’une super carrière, de la célébrité et de la publicité.
Nombreux hommes de science ont pour moteur l’ambition personnelle et qui est très susceptible de croyances préconçues…Donc, ne pas faire une idole de la science, elle a aussi ses limites. Si Dieu est absolu, alors rien n’est impossible, et comme le souligne Dostoïevski : « Quoi qu’il en soit, deux et deux font quatre, à mon avis, respire l’impudence, … que « deux et deux font cinq » est aussi parfois une chose bien charmante ».
Pour ma part, dans ma recherche de la science, je ne rentre pas dans le dialogue conflictuel entre évolutionnisme vs créationnisme. En effet, je n’ai pas les compétences pour débattre à ce niveau, mais je m’en tiens à mes recherches personnelles suite à une révélation. Donc, c’est par ce socle de la révélation que je fonde ma recherche. Chaque jour, je constate l’émerveillement de cette création dans l’univers et la biochimie du corps humain.
Prenons l’exemple de ces dernières années, la recherche scientifique a beaucoup travaillé sur le génome humain. En comparant le patrimoine génétique de populations du monde entier, les chercheurs ont apporté la preuve incontestable que tous les humains ont un ancêtre commun, que l’ADN de tous les individus actuellement vivants ou ayant jamais existé provient d’une même source. En 1988, ces travaux ont fait l’objet d’un article de Newsweek intitulé “ À la recherche d’Adam et Ève ”. Ils avaient été réalisés sur un matériel génétique transmis exclusivement par les femmes, un ADN mitochondrial. En 1995, d’autres recherches menées sur l’ADN masculin ont permis d’arriver à la même conclusion, à savoir, pour reprendre les termes de la revue Time, qu’il y a eu un « Adam » ancestral dont le matériel génétique localisé sur le chromosome [Y] est commun à celui de tout homme actuellement vivant sur la terre.
En 1997, une étude bouleversante de « Nature Genetic » a montré que les scientifiques se sont trompés sur la datation des premiers humains. Selon l’étude de 1997, le calcul de l’âge d’Eve est différent car le taux de mutation dans l’ADN mitochondrial est 20 X plus élevé, ce qui démontre que Eve aurait environ 6000 à 6500 ans. Cela est plus en adéquation avec ce qui est annoncé dans la Genèse.
Que ces découvertes scientifiques soient ou non exactes dans leurs moindres détails, elles montrent que le récit de la Genèse est crédible au plus haut point.
Pour ma part, je crois en la Bible par révélation et non pas par déduction scientifique, et n’oublions pas à l’époque de Jésus-Christ, que nombreux ont vu des miracles et ne se sont pas converti pour autant. C’est une histoire de coeur et non pas, le plus souvent, à la vue de miracles ou des preuves scientifiques. Bruno lacroix