Dans la vie, vous faites des belles rencontres avec des personnages invraisemblables comme celle que j’ai pû avoir le Pr Garth Nicholson, grand spécialiste de la guerre du Golf. Ce jour là, en déjeunant avec lui j’ai appris plus que mes dix dernières années d’études sur les infections froides.
Le journal scientifique The Lancet vient de publier une étude financée par le gouvernement chinois, basée sur 41 personnes de la première vague d’infections à Wuhan, en Chine. Parmi ces patients, le coronavirus de la pneumonie de Wuhan avait un taux d’infection énorme de 83% et un taux de mortalité de 15%, avec une période d’incubation pouvant aller jusqu’à 8 jours, avant que les patients ne présentent de symptômes.
De tels chiffres sont presque inconnus et s’ils se vérifient, le virus aura le potentiel de tuer des centaines de millions de personnes. Cependant, l’échantillon de seulement 41 patients est petit et, espérons-le, non représentatif.
Je ne suis pas un « parano » des virus, surtout lorsque les médias en font la une des journaux, de plus que le coronavirus existe bien en France et fait des victimes chaque année… Un bon système immunitaire est primordiale, mais lorsque je prends l’avion, j’utilise de façon sporadique l’argent colloïdal » , en effet c’est un bon bain de pathogènes sur chaque vol qui mets à rude épreuve l’immunité. Une petite « snifette » d’Argentin 23 avant le décollage et quelques gouttes dans les yeux et oreilles sont très utiles
Les neurosciences ne sont pas comme la physique, il n’y a presque pas de « lois » dans ce domaine qui peuvent être réduites à un certain nombre et nous pouvons prédire que cela se produira exactement de la même manière à chaque fois. Il y a d’énormes quantités de trous noir dans notre compréhension des neurosciences. Même dans les choses que nous pensions être des constantes au moins la plupart du temps dans ce domaine, les gens se disputent encore. Dans cet esprit, distiller le peu de connaissances que nous avons du cerveau (ou nous pensons savoir) en quelque chose de pratique nécessite des généralisations et du réductionnisme, et ne peut faire partie que de la « théorie du bullshit ».
La prostaglandine E2 (PGE2) est surexprimée dans la plupart des pathologies rhumatismales.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) classiques et les coxibs diminuent efficacement la production de PGE2.
Les AINS sont indiqués dans l’arthrose, la lombosciatique par hernie discale et les rhumatismes inflammatoires, mais leur prescription doit tenir compte des effets indésirables potentiels nombreux.
Moduler naturellement ces prostaglandines peut se faire via une approche de la gestion de la NUTRITION..