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Avec le temps, on commence à mieux connaître le virus, mais il reste encore des zones d’ombres. Hormis la grosse propagande politico-médiatique, ils ne faut pas céder à la peur instaurée mais a chercher qu’elles sont les véritables motifs de tout cela, tout en apprenant à connaître ce virus ?

Une deuxième infection par le virus de la COVID chez un patient guéri a été démontrée dans quelques cas. Dans plusieurs pays, des cas de patients “guéris” testés positifs à la COVID-19 plusieurs semaines ou mois après la disparition des symptômes et plusieurs tests négatifs ont été rapportés. 

Plusieurs hypothèse à cela :

  • 1er hypothèse les résultats de ces premiers tests étaient des faux-négatifs (c’est-à-dire qu’ils n’ont pas détecté le virus alors qu’il était présent)
  • 2eme hypothèse est que les patients aient attrapé la COVID-19 une deuxième fois. 
  • 3 eme hypothèse est que le virus soit resté de façon continue, à faible dose, chez ces patients avant d’augmenter en concentration dans les sécrétions au cours d’une seconde phase. 
  • Dans les cas démontrés de réinfection, la séquence du virus lors de la deuxième infection est suffisamment différente de celle de la première infection pour pouvoir conclure que c’est bien une deuxième infection.

En théorie, après une primo-infection, un malade développe des anticorps protecteurs qui lui assurent l’immunité. Mais dans le cas de la Covid-19, les chercheurs s’interrogent encore sur l’efficacité des anticorps dans le temps et la possibilité d’une ré-infection

Les données actuelles montrent qu’il est possible d’être infecté plusieurs fois par le coronavirus SARS-CoV-2, même s’il est encore difficile d’en estimer la probabilité.

Le plus important est de maintenir un bon système immunitaire et une hygiène de vie adéquate.

Est-ce que la science (avec un grand « S ») est toujours objective, neutre ? NON.

Malheureusement, la vérité scientifique peut-être souvent sacrifiée à des intérêts individuels, politiques et économiques.

Les scientifiques sont eux aussi des hommes et il y a beaucoup de choses en jeu, des récompenses brillantes sous la forme d’une super carrière, de la célébrité et de la publicité.

Nombreux hommes de science ont pour moteur l’ambition personnelle et qui est très susceptible de croyances préconçues…Donc, ne pas faire une idole de la science, elle a aussi ses limites. Si Dieu est absolu, alors rien n’est impossible, et comme le souligne Dostoïevski : « Quoi qu’il en soit, deux et deux font quatre, à mon avis, respire l’impudence, … que « deux et deux font cinq » est aussi parfois une chose bien charmante ».

Pour ma part, dans ma recherche de la science, je ne rentre pas dans le dialogue conflictuel entre évolutionnisme vs créationnisme. En effet, je n’ai pas les compétences pour débattre à ce niveau, mais je m’en tiens à mes recherches personnelles suite à une révélation. Donc, c’est par ce socle de la révélation que je fonde ma recherche. Chaque jour, je constate l’émerveillement de cette création dans l’univers et la biochimie du corps humain.

Prenons l’exemple de ces dernières années, la recherche scientifique a beaucoup travaillé sur le génome humain. En comparant le patrimoine génétique de populations du monde entier, les chercheurs ont apporté la preuve incontestable que tous les humains ont un ancêtre commun, que l’ADN de tous les individus actuellement vivants ou ayant jamais existé provient d’une même source. En 1988, ces travaux ont fait l’objet d’un article de Newsweek intitulé “ À la recherche d’Adam et Ève ”. Ils avaient été réalisés sur un matériel génétique transmis exclusivement par les femmes, un ADN mitochondrial. En 1995, d’autres recherches menées sur l’ADN masculin ont permis d’arriver à la même conclusion, à savoir, pour reprendre les termes de la revue Time, qu’il y a eu un « Adam » ancestral dont le matériel génétique localisé sur le chromosome [Y] est commun à celui de tout homme actuellement vivant sur la terre.

En 1997, une étude bouleversante de « Nature Genetic » a montré que les scientifiques se sont trompés sur la datation des premiers humains. Selon l’étude de 1997, le calcul de l’âge d’Eve est différent car le taux de mutation dans l’ADN mitochondrial est 20 X plus élevé, ce qui démontre que Eve aurait environ 6000 à 6500 ans. Cela est plus en adéquation avec ce qui est annoncé dans la Genèse.

Que ces découvertes scientifiques soient ou non exactes dans leurs moindres détails, elles montrent que le récit de la Genèse est crédible au plus haut point.

Pour ma part, je crois en la Bible par révélation et non pas par déduction scientifique, et n’oublions pas à l’époque de Jésus-Christ, que nombreux ont vu des miracles et ne se sont pas converti pour autant. C’est une histoire de coeur et non pas, le plus souvent, à la vue de miracles ou des preuves scientifiques. Bruno lacroix

La prestigieuse revue « New England Journal of Medicine » montre que le masque en extérieur  ..Donc si vous commencez à discuter sur une étude aussi sérieuse que cela c’est que vous voulez imposer autre chose que des mesures sanitaires…