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En bloquant les récepteurs ACE2, on  limite les dommages causés par l’inflammation induite par l’angiotensine II (tempête de cytokines). En effet, le SRAS et le COVID 19 utilisent les récepteurs de l’angiotensine 2 pour permettre l’entrée dans la cellule. Ces médicaments qui bloquent ACE2  ne diminuent pas la réaction immunitaire au virus, mais ils diminuent la probabilité d’une issue fatale et donnent au corps le temps de mobiliser les cellules antivirales T et B.

Les anti-angiotensine 2 ont reçus très peu d’attention en médecine traditionnelle ni par’Organisation mondiale de la santé (OMS), une entité hautement politisée, qui ont toujours favorisé la recherche sur les vaccins et a apparemment supprimé toute thérapie qui s’écarte d’une approche antivirale directe.

References:

[1] Crombie IK. Distribution of malignant melanoma on the body surface.Br J Cancer. 1981 Jun;43(6):842-9.

[2] Melanoma International Foundation, 2007 Facts about melanoma. Sources: National Cancer Institute 2007 SEER Database, American Cancer Society’s 2007 Facts and Figures, The Skin Cancer Foundation, The American Academy of Dermatology.

[3] Ian D. Wyatt and Daniel E. Hecker. Occupational changes in the 20th century. Monthly Labor Review, 2006 pp 35-57: Office of Occupational Statistics and Employment Projections, Bureau of Labor Statistics.

[4] US Congress, Office of Technology Assessment, Catching Our Breath: Next Steps for Reducing Urban Ozone, OTA-O-412 (Washington, DC: US Government Printing Office, July 1989).

[5] Pendant le jour le soleil ne te frappera point, Ni la lune pendant la nuit. Psaumes 113.3

[6] Millen AE, Tucker MA, Hartge P, Halpern A, Elder DE, Guerry D 4th, Holly EA, Sagebiel RW, Potischman N. Diet and melanoma in a case-control study. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 2004 Jun;13(6):1042-51.

[7] Gould Rothberg BE, Bulloch KJ, Fine JA, Barnhill RL, Berwick M. Red meat and fruit intake is prognostic among patients with localized cutaneous melanomas more than 1 mm thick. Cancer Epidemiol. 2014 Oct;38(5):599-607.

[8] Gallagher RP, Macarthur AC, Lee TK, Weber JP, Leblanc A, Mark Elwood J, Borugian M, Abanto Z, Spinelli JJ. Plasma levels of polychlorinated biphenyls and risk of cutaneous malignant melanoma: a preliminary study. Int J Cancer. 2011  15;128(8):1872-80.

[9] Li WQ, Qureshi AA, Robinson K, Han J. Sildenafil use and increased risk of incident melanoma in US men: a prospective cohort study. JAMA Intern Med. 2014 Jun;174(6):964-70C

[10] Karimi K, Lindgren TH, Koch CA, Brodell RT. Obesity as a risk factor for malignant melanoma and non-melanoma skin cancer. Rev Endocr Metab Disord. 2016 Sep;17(3):389-403.

[11] Green AC, Siskind V. Risk factors for limb melanomas compared with trunk melanomas in Queensland. Melanoma Res. 2012 ;22(1):86-91.

Ce n’est donc pas un hasard si le National Cancer Institute (institut national du cancer) américain investit dans des recherches sur les bienfaits des UV solaires.

C’est ainsi qu’a été menée la plus vaste étude de ce type, sur plus de 450 000 personnes, associant des données satellites de la NASA concernant l’exposition effective aux UV et le recensement des lieux de vie de ces personnes, suivies pendant près de 10 ans.

Les résultats confirment que le ratio bénéfice / risque de l’exposition aux UVB est très largement en faveur de l’exposition :

 

Cancer dont le risque est augmenté par les UV ( vraiment ?)

–       mélanome : risque augmenté de 22 % (HR = 1.22, 95% CI = 1.13-1.32; p-trend < 0.001)

(explication du pourquoi dans la slide (brûlure, creme chimique et manque de soleil (paradoxe)

Cancers dont le risque est diminué par les UV :

–       lymphome  non-Hodgkinien : risque diminué de 18 % (HR = 0.82, 95% CI = 0.74-0.92)

–       cancer du colon : risque diminué de 12 %  (HR = 0.88, 95% CI = 0.82-0.96),

–       cancer du poumon : risque diminué de 14 %  (HR = 0.86, 95% CI = 0.75-0.98)

–       cancer de la plèvre : risque diminué de 5 % (HR = 0.57, 95% CI = 0.38-0.84),

–       cancer de la prostate : risque diminué de 9 %  (HR = 0.91, 95% CI = 0.88-0.95)

–       cancer du rein : risque diminué de 17 % (HR = 0.83, 95% CI = 0.73-0.94)

–       cancer de la vessie : risque diminué de 12% (HR = 0.88, 95% CI = 0.81-0.96)

Les résultats montrent que d’autres cancers sont également moins fréquents chez les personnes recevant le plus d’UV : cancer de la thyroïde, cancer du pancréas,…

(tous les p-trend < 0.05)

Le journal scientifique The Lancet vient de publier une étude financée par le gouvernement chinois, basée sur 41 personnes de la première vague d’infections à Wuhan, en Chine. Parmi ces patients, le coronavirus de la pneumonie de Wuhan avait un taux d’infection énorme de 83% et un taux de mortalité de 15%, avec une période d’incubation pouvant aller jusqu’à 8 jours, avant que les patients ne présentent de symptômes.

De tels chiffres sont presque inconnus et s’ils se vérifient, le virus aura le potentiel de tuer des centaines de millions de personnes. Cependant, l’échantillon de seulement 41 patients est petit et, espérons-le, non représentatif.

 Cette tempête de cytokines, est un concert morbide immunitaire qui commencent par des cytokines plasmatiques caractéristiques et qui évoluent avec le temps. Numéro 1 : phase aiguë TNF et IL-1􏰁 et les cytokines chimiotactiques IL-8 et MCP-1 apparaissent dans les premières minutes à quelques heures après l’infection puis NUMERO 2 une augmentation plus soutenue de l’IL-6. NUMERO 3 la cytokine anti-inflammatoire IL-10 apparaît un peu plus tard, car le corps tente de contrôler la réponse inflammatoire systémique aiguë….15% de décès selon l’équilibre entre cytokines inflammatoires et anti-inflammatoire.

Je ne suis pas un « parano » des virus, surtout lorsque les médias en font la une des journaux, de plus que le coronavirus existe bien en France et fait des victimes chaque année… Un bon système immunitaire est primordiale, mais lorsque je prends l’avion, j’utilise de façon sporadique l’argent colloïdal » , en effet c’est un bon bain de pathogènes sur chaque vol qui mets à rude épreuve l’immunité. Une petite « snifette » d’Argentin 23 avant le décollage et quelques gouttes dans les yeux et oreilles sont très utiles

Les neurosciences ne sont pas comme la physique, il n’y a presque pas de « lois » dans ce domaine qui peuvent être réduites à un certain nombre et nous pouvons prédire que cela se produira exactement de la même manière à chaque fois. Il y a d’énormes quantités de trous noir dans notre compréhension des neurosciences. Même dans les choses que nous pensions être des constantes au moins la plupart du temps dans ce domaine, les gens se disputent encore. Dans cet esprit, distiller le peu de connaissances que nous avons du cerveau (ou nous pensons savoir) en quelque chose de pratique nécessite des généralisations et du réductionnisme, et ne peut faire partie que de la « théorie du bullshit ».

La prostaglandine E2 (PGE2) est surexprimée dans la plupart des pathologies rhumatismales.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) classiques et les coxibs diminuent efficacement la production de PGE2.
Les AINS sont indiqués dans l’arthrose, la lombosciatique par hernie discale et les rhumatismes inflammatoires, mais leur prescription doit tenir compte des effets indésirables potentiels nombreux.

Moduler naturellement ces prostaglandines peut se faire via une approche de la gestion de la NUTRITION..