Blog

Ce n’est donc pas un hasard si le National Cancer Institute (institut national du cancer) américain investit dans des recherches sur les bienfaits des UV solaires.

C’est ainsi qu’a été menée la plus vaste étude de ce type, sur plus de 450 000 personnes, associant des données satellites de la NASA concernant l’exposition effective aux UV et le recensement des lieux de vie de ces personnes, suivies pendant près de 10 ans.

Les résultats confirment que le ratio bénéfice / risque de l’exposition aux UVB est très largement en faveur de l’exposition :

 

Cancer dont le risque est augmenté par les UV ( vraiment ?)

–       mélanome : risque augmenté de 22 % (HR = 1.22, 95% CI = 1.13-1.32; p-trend < 0.001)

(explication du pourquoi dans la slide (brûlure, creme chimique et manque de soleil (paradoxe)

Cancers dont le risque est diminué par les UV :

–       lymphome  non-Hodgkinien : risque diminué de 18 % (HR = 0.82, 95% CI = 0.74-0.92)

–       cancer du colon : risque diminué de 12 %  (HR = 0.88, 95% CI = 0.82-0.96),

–       cancer du poumon : risque diminué de 14 %  (HR = 0.86, 95% CI = 0.75-0.98)

–       cancer de la plèvre : risque diminué de 5 % (HR = 0.57, 95% CI = 0.38-0.84),

–       cancer de la prostate : risque diminué de 9 %  (HR = 0.91, 95% CI = 0.88-0.95)

–       cancer du rein : risque diminué de 17 % (HR = 0.83, 95% CI = 0.73-0.94)

–       cancer de la vessie : risque diminué de 12% (HR = 0.88, 95% CI = 0.81-0.96)

Les résultats montrent que d’autres cancers sont également moins fréquents chez les personnes recevant le plus d’UV : cancer de la thyroïde, cancer du pancréas,…

(tous les p-trend < 0.05)

Le journal scientifique The Lancet vient de publier une étude financée par le gouvernement chinois, basée sur 41 personnes de la première vague d’infections à Wuhan, en Chine. Parmi ces patients, le coronavirus de la pneumonie de Wuhan avait un taux d’infection énorme de 83% et un taux de mortalité de 15%, avec une période d’incubation pouvant aller jusqu’à 8 jours, avant que les patients ne présentent de symptômes.

De tels chiffres sont presque inconnus et s’ils se vérifient, le virus aura le potentiel de tuer des centaines de millions de personnes. Cependant, l’échantillon de seulement 41 patients est petit et, espérons-le, non représentatif.

 Cette tempête de cytokines, est un concert morbide immunitaire qui commencent par des cytokines plasmatiques caractéristiques et qui évoluent avec le temps. Numéro 1 : phase aiguë TNF et IL-1􏰁 et les cytokines chimiotactiques IL-8 et MCP-1 apparaissent dans les premières minutes à quelques heures après l’infection puis NUMERO 2 une augmentation plus soutenue de l’IL-6. NUMERO 3 la cytokine anti-inflammatoire IL-10 apparaît un peu plus tard, car le corps tente de contrôler la réponse inflammatoire systémique aiguë….15% de décès selon l’équilibre entre cytokines inflammatoires et anti-inflammatoire.

Je ne suis pas un « parano » des virus, surtout lorsque les médias en font la une des journaux, de plus que le coronavirus existe bien en France et fait des victimes chaque année… Un bon système immunitaire est primordiale, mais lorsque je prends l’avion, j’utilise de façon sporadique l’argent colloïdal » , en effet c’est un bon bain de pathogènes sur chaque vol qui mets à rude épreuve l’immunité. Une petite « snifette » d’Argentin 23 avant le décollage et quelques gouttes dans les yeux et oreilles sont très utiles

Les neurosciences ne sont pas comme la physique, il n’y a presque pas de « lois » dans ce domaine qui peuvent être réduites à un certain nombre et nous pouvons prédire que cela se produira exactement de la même manière à chaque fois. Il y a d’énormes quantités de trous noir dans notre compréhension des neurosciences. Même dans les choses que nous pensions être des constantes au moins la plupart du temps dans ce domaine, les gens se disputent encore. Dans cet esprit, distiller le peu de connaissances que nous avons du cerveau (ou nous pensons savoir) en quelque chose de pratique nécessite des généralisations et du réductionnisme, et ne peut faire partie que de la « théorie du bullshit ».

La prostaglandine E2 (PGE2) est surexprimée dans la plupart des pathologies rhumatismales.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) classiques et les coxibs diminuent efficacement la production de PGE2.
Les AINS sont indiqués dans l’arthrose, la lombosciatique par hernie discale et les rhumatismes inflammatoires, mais leur prescription doit tenir compte des effets indésirables potentiels nombreux.

Moduler naturellement ces prostaglandines peut se faire via une approche de la gestion de la NUTRITION..

 

 

La France s’apprête à déployer la 5G, qui repose en partie sur l’utilisation d’ondes à très haute fréquence. Aucune étude épidémiologique n’ayant été faite, scientifiques, médecins, et jusqu’aux services de l’État s’alarment. la 5G augmentera l’exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquence (CEM-RF) », ont prévenu, en septembre 2017, plus de 170 scientifiques issus de 37 pays. Ils réclament un moratoire « jusqu’à ce que les dangers potentiels pour la santé humaine et l’environnement aient été (…) évalués par des scientifiques indépendants de l’industrie (…) Il est prouvé que les émissions CEM-RF sont nuisibles à l’homme et à l’environnement ».

Dans l’ordre économique, les affamés cherchent la nourriture, dans l’ordre spirituel, c’est la nourriture, étalée à profusion, qui s’offre en vain aux affamés. On pense aussi à la pluie du ciel ruisselant sans fin sur une terre imperméable et stérile qui refuseraient ses bienfaits….
Jésus parlant aux pharisiens de l’époque dans la Bible: ‘Je vous le dis, s’ils se taisent, les pierres crieront!’